Alors que la technologie numérique continue de se répandre sur le continent, on s'interroge sur ce que cela signifie pour l'avenir de l'Afrique.
Parallèlement à l'essor des technologies et à la réussite de start-up à croissance rapide, certains gouvernements africains sont accusés de répression de la liberté de l'internet, de surveillance numérique et de restrictions des droits de l'Homme.
Les nations ont désormais accès à des outils avancés tels que la reconnaissance faciale et les lecteurs de plaques d'immatriculation. Sans surveillance ni garde-fous, les experts en technologie et les militants des droits de l'Homme s'accordent sur le fait que cette technologie est dangereusement non réglementée.
Alors que de plus en plus d'Africains sont connectés, les gouvernements vont-ils se concentrer sur la surveillance secrète de leurs citoyens et exercer un contrôle sur leur accès aux médias sociaux? Ou la protection des droits numériques empêchera-t-elle les nations progressistes de devenir des 'dictatures numériques'?
